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Un conte de fées caucasien moderne ! Le Trio Mandili interprète des polyphonies traditionnelles géorgiennes. Leurs voix magiques, comme des ruisseaux descendant des montagnes, pénètrent dans le coeur. Ce conte de fées commence le jour où trois amies décident d’interpréter une chanson et de se filmer lors d’une promenade. Cette vidéo change radicalement leur vie. En deux semaines, elle est regardée par plusieurs millions de personnes, elles deviennent des stars !

Le nom du groupe, Mandili, vient d’une coiffe féminine en forme d’écharpe que les femmes jetaient traditionnellement par terre lorsqu’elles voulaient réconcilier les hommes en conflit. Leurs compositions lyriques révèlent l’esprit unique de la Géorgie pittoresque et l’étendue de l’âme du peuple géorgien.

Savez-vous que le premier microsillon fut inventé en 3000 avant JC dans une pyramide égyptienne ? Que les chanteurs à la voix aiguë affolent les filles ? Que l’expression « Con comme un ténor » est justifiée par les lois de l’acoustique ? Que l’exécution de Robespierre a donné naissance au Jazz ? Que les notes de la gamme influencent nos humeurs ?

Assis au piano, André Manoukian nous propose un parcours érudit et déjanté sur les routes de la musique. Il nous explique pourquoi certaines notes nous tirent des larmes, quand d’autres nous angoissent ou nous rendent idiots d’amour. Tâchant de percer le mystère de la voix, il nous emmène des Égyptiens de l’Antiquité aux divas du jazz en passant par les castrats de la Renaissance. De sa cure de désintoxication vocale à sa rédemption grâce à Pythagore et Claude François, André Manoukian nous brosse une histoire de la musique comme vous ne l’avez jamais entendue. Vous n’écouterez plus jamais Sheila de la même manière !

Cashmere Prod

Faisant la part belle au mariage des timbres et des couleurs ainsi qu’aux harmonies de leurs deux voix unies, Belinda Kunz propose un programme composé de duos en complicité avec Milena Bischoff. Des airs et des duos parmi les
plus beaux du répertoire, mais aussi des arrangements originaux composés sur mesure par Jean-Dominique Burroni, de l‘Opéra de Paris. L‘accordéon offre à ce programme sa couleur tantôt populaire, tantôt plus intime et recueillie.
La trompette, noble et chaleureuse, brille, swingue et s‘unit comme une troisième voix à celles des deux chanteuses.

Au programme, des oeuvres de Purcell, Vivaldi, Bach, Haendel, Saint Saens, Humperdinck, Irving Berlin, Gershwin, qui côtoient traditionnel et chansons.

Soprano Milena Bischoff / Mezzo-soprano Belinda Kunz / Accordéon Hugo Degorre / Trompette Louis Bussière

Le Fred Bocquel 4tet est un habitué de la scène de L’illiade et c’est fort du succès rencontré auprès du public lors des précédentes saisons qu’il vous présente son nouveau programme. Pour ce concert, Fred Bocquel accueillera deux
musiciens d’exception, Tevin Thomas et Franck Wolf dont la réputation n’est plus à faire.

D’autres invités surprises seront de la partie et rejoindront le groupe pour quelques morceaux, dans le pur esprit de la « jam session » idiomatique du jazz. Allant du duo intimiste au puissant son du sextet, en passant par des trio, quintet, sur des compositions personnelles ou des standards de jazz, cette soirée vous promet de très bons moments musicaux !

Coréalisation

Trompette, bugle et composition Fred Bocquel – Piano Erwin Siffer – Basse Pilou Wurtz – Batterie Didier Hoffmann – Invités Tevin Thomas (clavier) / Franck Wolf (saxophone)

Julien Freymuth, contre-ténor et Yuki Mizutani, claveciniste vous emmènent dans l’univers sonore de la cour d’Angleterre au 16e et 17e siècle. Ils vous interpréteront des oeuvres de cour du temps de Henri VIII, d’Edouard VI, des reines Marie Tudor et Elisabeth Ière, composés par Thomas Tallis (1505-1585), William Byrd (1539-1623), John Bull (1562-1628), John Dowland (1563-1626) et Henry Purcell / (1659-1695).

Yuki Mizutani, née au Japon, a étudié le clavecin à Osaka ainsi que dans diverses écoles en Europe. Interprète émérite, elle s’installe à Strasbourg où elle pratique son art tout en enseignant son savoir-faire.

Après des débuts à la Maîtrise de Garçons de Colmar, Julien Freymuth, contre-ténor, a fait ses armes en chant baroque au Centre de Musique Baroque de Versailles. Il se produit dans différents groupes.

On ne sait pas très bien d’où vient RédèR Nouhaj… Homme de plusieurs folklores, il manie son violon comme le bûcheron sa hache : avec précision, humilité et gratitude pour l’arbre coupé. Du Caucase où il fût plongé pendant un temps certain, le mix des cultures et la mélodie brute. Des plaines bulgares traversées par les transhumances, les folles rythmiques et les costumes à poils longs. De son enfance, la joie des objets sonores improbables. Dans un concert spectaculaire, il nous ouvre les carnets de ses voyages imaginés. Du cinéma pour les oreilles…

En partenariat avec Chainon manquant

Avec Frédéric Jouhannet – Soutiens DRAC Normandie / Région Normandie / Ville de Rouen / Ville de Sotteville-lès-Rouen / Ville de Petit-Quevilly

Dans La Périchole, Jacques Offenbach met en scène et en musique les misères de deux acteurs-chanteurs de rue, La Périchole et Piquillo, qui s’aiment. Mais la jeune femme a aussi été repérée par le vice-roi de la ville. Par désespoir et dans l’attente d’une meilleure fortune, elle accepte de devenir sa maîtresse. Imbroglios et rebondissements, cancans et sornettes, déguisements et emprisonnements s’enchaînent mais, comme toujours chez Offenbach, avec légèreté et drôlerie !

Opéra Piano revient à L’illiade avec une nouvelle version de La Périchole transposée dans l’Amérique des années 50.

Création 2024

Direction Musicale Étienne Ferrer – Mise en scène et costumes Marguerite Woerlé – Décors Michel Ledieu – Création lumières Raphaël Siefert – Interprètes Belinda Kunz ou Laura Phelut / Quentin Monteil / Lionel Sadoun / Guillaume Frey / Alexandre Bron / Lisa Ollivier / Noémie Methlin / Christina Gurpinar / Agathe Bruandet / Tom Heinrich / René Montavon / Erik de Mautort

Un concert empreint d’humour et de poésie à travers les époques et les continents, où les chants de la flûte traversière et de la clarinette se mêlent et s’entremêlent aux cordes d’un piano complice. Au fil des notes, laissez-vous transporter vers des contrées lointaines où se rencontrent les univers musicaux de Ravel, Prokofiev, Piazzolla et tant d’autres encore.

Venus d’horizons différents, Olivia Abreu à la flûte traversière, Angéline Véron à la clarinette et Julio César Castillo au piano et aux arrangements, tous trois professeurs à La Villa, « façonnent le S’illens’ » pour vous offrir un concert unissant avec subtilité leurs cultures et influences musicales.

Coréalisation

Après avoir sillonné la France au sein de nombreux groupes musicaux, Paul vient jeter à la face du monde ses chansons mélancoliques et brumeuses. Cela fait penser à Leprest, Mano Solo, Barbara, Ferré… une pincée d’humour, un zeste de poésie, une touche de cuivre et de rumba s’y ajoutent et dessinent les contours de son univers.

Coréalisation

Voix, cuivres Paul Barbieri – Piano, claviers et choeurs Thomas Valentin – Guitares et choeurs Martin Hupfel
Contrebasse et choeurs Phillip Klawitter – Contrebasse et choeurs Cédric Lemaire